La théorie peut parfois paraître très belle, la pratique l’est souvent beaucoup moins. En théorie, l’alerte incendie ne fonctionne qu’en cas d’incendie. Sur papier, l’alarme n’est activée qu’en cas d’effraction. Selon le manuel, le système de contrôle d’accès veille à ce que les personnes correctes soient là où elles sont supposées être au moment indiqué.
Mais toute personne ayant travaillé dans une entreprise, dans des entrepôts ou qui a passé de nombreuses heures au bureau sait que ce n’est pas vrai. Un détecteur peut être hypersensible, un employé peut être négligent dans son pointage ou une mouche peut atterrir là où elle ne devrait pas. Dans ces cas, les systèmes d’alarme peuvent s’enclencher sans raison.
Et c’est une bonne chose, parce que c’est bien pourquoi on investit dans le Physical Security. On recommande pourtant de considérer un système centralisé qui connecte, inspecte et interprète toutes ces mesures, installations et logiciels. La plateforme ouverte psm de primion Benelux pourrait être une option très intéressante. La gestion en temps réel de la sécurité physique (Physical Security Integrated Management, c’est-à-dire un système PSIM) en devient une tâche beaucoup plus simple. Après l’acquisition (unique) de ce système psm (pas d’abonnement, donc pas de frais mensuels) la sécurité physique peut être organisée de manière beaucoup plus efficace.
Le psm permet de gérer les installations de différents producteurs dans un seul système. En plus, le psm met en carte où ces systèmes (actifs ou non) se trouvent à l’aide d’un plan/schéma qui indique également le statut de chaque segment du système. Laisse le psm faire tout le boulot !
Le meilleur atout du psm, c’est sa capacité d’apprentissage autonome qui lui permet de décider quelles alertes devront être suivies ou non. C’est une gestion des risques vraiment proactive : non seulement toute les alertes sont mises en carte, mais en plus, elles sont suivies à base des données enregistrées (configurées) par les employés et les données historiques (automatisées).
Connectées, configurées et automatisées : les alarmes de sécurité peuvent être réglées pour qu’elles ne s’activent que (1) lors des heures de fermeture, (2) si les caméras détectent un mouvement, (3) si une clôture physique a été brisée ou (4) si certaines portes ont été forcées. La corrélation entre diverses variables (il peut s’agir de 2 variables tout comme d’une multitude de variables par rapport aux 4 mentionnées ci-dessus) détermine - si nécessaire - les pas à suivre. Plus le temps avance, plus le psm s’adapte à l’entreprise. Comme ça, on sait que les évacuations inutiles, les fausses alertes et la panique non fondée pourront être réduites à un minimum. L’époque où les agents de sécurité devaient intervenir plusieurs fois par jour à cause d’une fausse alerte appartient désormais au passé.
Un lieu de travail plus intelligent, plus efficace et au final plus sûr. C’est ce qu’on veut tous, n’est-ce pas ?